Personnes en situation de handicap
Pour connaître les personnes ressources : https://www.pratiquesensante.org/personnes-ressources/
https://www.education.gouv.fr/media/69417/download
Scolariser dans de bonnes conditions les élèves en situation de handicap est une des grandes causes du quinquennat. La réalisation d’une École pleinement inclusive est à ce titre une priorité. L’École inclusive vise à assurer une scolarisation de qualité, pour tous les élèves de la maternelle au lycée, par la prise en compte de leurs singularités et de leurs besoins éducatifs particuliers. En tant qu’AESH, vous êtes un acteur essentiel de la pleine réussite de l’École inclusive. Votre engagement au coeur de la communauté éducative et au service des élèves est décisif pour répondre durablement à la scolarisation, dans de bonnes conditions, des élèves en situation de handicap. Je vous souhaite un plein accomplissement professionnel et personnel dans vos missions et forme le souhait que ce guide, issu d’une concertation approfondie avec les représentants du personnel, puisse éclairer les règles relatives à vos conditions d’emploi.
#pratiquesensante #handicaps
Dans le cadre de l'examen du rapport initial de la France sur la mise en œuvre de la Convention relative aux droits des personnes handicapées (CIDPH) par le Comité des droits des personnes handicapées des Nations-Unies, du 18 au 23 août 2021, le Défenseur des droits a remis un rapport parallèle.
Désigné par le gouvernement comme mécanisme indépendant au titre de l’article 33.2 de la CIDPH, le Défenseur des droits assure une mission de protection, de promotion et de suivi de l’application de la Convention au sein d’un dispositif national, en lien avec les personnes handicapées et les associations qui les représentent.
#pratiquesensante #handicaps
https://handicap.gouv.fr/IMG/pdf/kit_pedagogique_-_polyhandicap.pdf
La loi nous donne une définition du polyhandicap1 ; mais au-delà de cette définition, qui sont réellement les personnes polyhandicapées ? La première rencontre avec ces personnes peut s’avérer déconcertante, tant elles paraissent, à première vue, différentes des autres, tant leur impossibilité à s’exprimer dans le langage ordinaire est déroutante, tant leur premier abord crée l’inquiétude de ne pas savoir comment s’y prendre, de ne pas trouver la bonne attitude, de les blesser, elles ou leur famille par une attitude inappropriée. Pourtant si nous acceptons de les regarder telles qu’elles sont et non telles que nous nous projetons, si nous acceptons de déconstruire les schémas préétablis habituels, les personnes polyhandicapées n’ont pas fini de nous surprendre et même de nous émerveiller.
Dans le cadre du nouveau mandat qui lui a été confié le 3 décembre dernier, la CNCDH a présenté au gouvernement un rapport préliminaire intitulé « Connaître, définir, sensibiliser, combattre les stéréotypes et les préjugés à l’égard des personnes handicapées ».
Dans le but de promouvoir une perception positive des personnes handicapées et une conscience sociale plus poussée à leur égard, le Premier ministre a souhaité mesurer l’impact de la lutte contre les stéréotypes et les préjugés à l’égard des personnes handicapées et d’évaluer les politiques menées en la matière. La CNCDH a ainsi été désignée comme rapporteur national indépendant sur la mise en œuvre et l’effectivité des droits des personnes en situation de handicap.
Il s’agit de dresser un tableau de la situation socio-économique et démographique des personnes handicapées comparativement au reste de la population, avec ses évolutions au cours de la dernière décennie à travers plusieurs critères, tels que leur nombre, âge, type de handicap, revenu, santé… La notion de handicap est difficile à appréhender, d’autant plus qu’elle dépend de plusieurs facteurs historiques, culturels et sociaux. Ainsi, plusieurs définitions du handicap sont utilisées dans les études relatives aux personnes handicapées. Il est à noter qu’il est particulièrement difficile de mesurer l'évolution du handicap en France, faute d'enquêtes significatives et comparables. Selon les classifications internationales le handicap renvoie à trois approches différentes : une déficience physique ou mentale (dimension organique) ; une incapacité plus ou moins importante à effectuer certaines actions, certains gestes (dimension fonctionnelle) ; un désavantage social, du fait d’une participation réduite à la société.
#pratiquesensante #handicaps
Ce kit est à destination des professionnels (travailleurs sociaux et plus largement tous ceux concourant au projet de vie des personnes en situation de handicap) ; il a vocation à être un support dont les formateurs pourront se saisir afin d’élaborer le contenu de leurs interventions en tenant compte des évolutions récentes des politiques publiques dans le champ du handicap. Il sera mis gratuitement à disposition des organismes de formation initiale et continue du travail social et plus largement, de l’ensemble des acteurs intervenant dans le parcours de vie des personnes en situation de handicap. Il s’agit ainsi de s’assurer de l’actualité des enseignements dispensés au regard des évolutions des politiques publiques, d’orienter vers des outils et méthodes appropriés dans un cadre respectueux des recommandations de bonnes pratiques de la Haute Autorité de Santé.
https://informations.handicap.fr/a-dossier-mdph-medecins-avenant-convention-medicale-31259.php
Constituer un dossier médical MDPH exige du temps. Les généralistes vont désormais bénéficier du remboursement d'une consultation dite "très complexe". D'autres mesures sont prises pour permettre un meilleur accès aux soins en cas de handicap
https://socialsecurity.belgium.be/sites/default/files/brochure-uncrpd-handistreaming-fr.pdf
La notion de « handistreaming » est un contraction des termes « handicap » et « mainstreaming ». Le mainstreaming est un concept de politique qui préconise une approche intégrée au travers de différents domaines de politique. Le concept est surtout connu dans le contexte du « gender mainstreaming » qui s’est largement répandu dans le monde entier. Le handistreaming entend introduire une approche similaire pour les personnes handicapées. Le handistreaming a donc pour objectif d’intégrer une dimension handicap dans tous les domaines de la politique d’une manière transversale et préventive. Ce qui permet d’éviter une différence de traitement entre les personnes avec handicap et les personnes sans handicap.
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https://www.cnsa.fr/documentation/cnsa_21-01_handicaps_accessible.pdf
Le deuxième Schéma national d’organisation sociale et médico-sociale pour les handicaps rares 2014-2018 a permis de déployer le dispositif d’accompagnement des personnes en situation de handicap rare, notamment à travers la mise en place des équipes relais handicaps rares (ERHR). Le troisième schéma doit inscrire durablement la reconnaissance des situations de handicap rare dans les politiques publiques du handicap. Les progrès apportés dans l’organisation de l’offre doivent être consolidés en prenant en compte l’évolution du contexte institutionnel et le nécessaire développement de la démarche inclusive.
http://lel.crires.ulaval.ca/sites/default/files/julien-gauthier_desmarais_tetreault_2018_0.pdf
JULIEN-GAUTHIER, Francine. Dir./ DESMARAIS, Chantal. Dir./ TETREAULT, Sylvie. Dir.
Québec : Livres en ligne du Crires, juin 2021
Ce livre rassemble cinq contributions issues de discussions faisant suite à une journée d’échange entre chercheurs et intervenants des milieux scolaires, sociaux et communautaires, organisée à Québec en avril 2015 par l’équipe Communauté axée sur la participation sociale des enfants et adolescents ayant des incapacités (CAPSEA). Il présente à la fois des résultats d'études et des pratiques éducatives.
https://handicap.gouv.fr/IMG/pdf/dp_cih_2021.05.07.2021.pdf
Depuis 2017, le handicap constitue une des grandes priorités du quinquennat. La réunion du 5e Comité interministériel du handicap de la mandature nous rappelle que c’est ensemble, ministres et représentants de la société civile, que nous pouvons réaliser des avancées concrètes au profit des 12 millions de personnes en situation de handicap et de leurs 8 millions d’aidants. En quatre ans, notre ambition reste la même: améliorer et simplifier le droit des personnes, leur autodétermination et poursuivre la construction d’une société inclusive, plus juste et plus équitable. Tels sont nos objectifs. Ce cap, nous l’avons tenu tout au long de la crise sanitaire. Le Gouvernement s’est pleinement mobilisé pour garantir les droits et les ressources des personnes en situation de handicap, en veillant à ce que leurs besoins spécifiques soient bien pris en compte, dans le cadre des confinements successifs comme dans l’organisation de la campagne de vaccination. Dans ce contexte, il était impératif de reconnaître l’engagement constant des professionnels soignants des établissements et services médicosociaux en étendant, dans le cadre de protocoles d’accords signés en mai dernier, le bénéfice des revalorisations inédites du Ségur de la santé. Plus encore, cette crise a renforcé notre détermination à améliorer le quotidien des personnes et de leur famille, dans tous les aspects de leur vie
https://www.inspq.qc.ca/nouvelles/nouveau-plan-action-inspq-personnes-handicapees
En cette Semaine québécoise des personnes handicapées(le lien est externe), l’INSPQ fait le bilan et présente son nouveau plan d’action à l’égard des personnes handicapées. En vertu d’une loi provinciale, chaque ministère et organisme public détermine les obstacles à l’intégration des personnes handicapées dans son organisation, afin de faciliter leur accueil et leur travail au quotidien, et ce, chaque année.
https://www.unapei.org/article/un-film-danimation-qui-brise-les-prejuges-sur-la-trisomie-21/
Le studio canadien TONIS DNA, en collaboration avec l’Arche Canada et le musicien Jordan Hart, a réalisé « Freebird », un film d’animation sur les périodes clés de la vie d’un homme de 45 ans, porteur de Trisomie 21. Le court métrage de 5 minutes casse les idées reçues sur le handicap et met en lumière la vie ordinaire et épanouie de John.
https://doc.rero.ch/record/330304/files/TB-Florine-Corthay.pdf
Dans ce travail, il est ressorti que chaque situation est suivie d’une maniqre spécifique et qu’il existe plusieurs approches d’accompagnement au sein d’une mrme institution. Une certaine culture institutionnelle à l’éccoute active et l’existence d’une vie affective ont été témoignées par les personnes interrogées. Quelques pistes d’intervention ont été avancées afin de répondre à la problématique découlant de ma question de recherche. Dans ce plan d’action, je propose une collaboration avec des centres externes j l’institution et discute de la possibilité de se former en santé sexuelle. ..
En collaboration avec les spécialistes en basse vision (BV) des services de consultation et des écoles spécialisées de Suisse, 314 mesures de la sensibilité aux contrastes (LCS : low contrast sensitivity) ont été réalisées de façon standardisée auprès de personnes de tous âges qui ont passé par une évaluation en basse vision motivée par un handicap visuel. Les conclusions de l’étude concernent donc la situation de LCS des personnes atteintes de différentes formes de déficience visuelle. La perception des contrastes joue un rôle décisif et souvent sous-estimé pour la capacité visuelle subjective et fonctionnelle. Les mesures ont révélé une perte moyenne de sensibilité aux contrastes (binoculaire) de -3,1 pas logarithmiques. La médiane est de -3, ce qui signifie que 50 % des personnes enrôlées présentent une perte supérieure et 50 % une perte inférieure à -3. La moyenne coïncide ainsi exactement avec la limite définissant une perte problématique de sensibilité aux contrastes. De très grandes différences se sont toutefois manifestées : LCS de 0 à -10. Ces différences existent dans toutes les tranches d’âge ainsi qu’à acuité visuelle égale. De grandes différences se sont également manifestées entre les deux yeux. Les résultats soulignent donc la nécessité de toujours mesurer la sensibilité aux contrastes pour chacun des deux yeux et de l’interpréter en interaction avec la dominance oculaire, l’acuité visuelle et d’autres paramètres fonctionnels, afin de pouvoir fournir à la personne concernée la meilleure réadaptation visuelle possible.
La PCH (Prestation de Compensation du Handicap) parentalité
https://www.cnsa.fr/documentation/cnsa_fiche_facile_a_lire_aide_pch_parentalite.pdf
Depuis le 1er janvier 2021, les parents en situation de handicap peuvent bénéficier d’aides supplémentaires pour s’occuper de leur enfant dans le cadre de la prestation de compensation du handicap (PCH). La CNSA met à disposition des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) un kit de communication afin de faciliter l’accès à ces prestations pour les personnes concernées.
La PCH parentalité se compose d’un forfait mensuel pour le financement d’aide humaine et d’un forfait ponctuel pour le financement d’aides techniques.
https://www.cncdh.fr/sites/default/files/guide_pratique_cidph_vdef_en_planches.pdf
Nous devons veiller à ce que le développement nous soit également bénéfique et pas seulement pour améliorer les capacités, les opportunités et les réalisations de chaque personne, mais aussi pour créer des sociétés plus inclusives, équitables et durables. Cela nécessite de considérer les personnes handicapées du point de vue des droits de la personne plutôt que comme des bénéficiaires de mesures paternalistes ou de charité. C’est pourquoi la Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées, adoptée il y a dix ans, est le meilleur instrument pour garantir les conditions et le soutien nécessaires à notre collectivité, pour participer à tous les processus et aux résultats de ces développement. Selon la Convention, nous devons tenir compte des questions relatives au handicap dans toutes les politiques et programmes publics, et veiller à ce que les personnes handicapées participent à leur conception, à leur mise en œuvre, à leur suivi et à leur évaluation.
https://www.handeo.fr/node/19910
« Constitue un handicap toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant. »
La loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées reconnaît différents types de handicap dont le handicap moteur, sensoriel, mental, cognitif et psychique.
https://www.cnsa.fr/documentation/serafin_nomenclatures.pdf
Les nomenclatures SERAFIN-PH permettent de disposer d’un langage commun à tous les acteurs pour identifier les besoins des personnes en situation de handicap et les prestations pour y répondre. Le guide publié par la CNSA s’attache à promouvoir les usages de ces nomenclatures identifiés au niveau local, qui participent à la dynamique de transformation de l’offre d’accompagnement.
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03039272/document
Le projet de recherche "E.S.A.T. de DEMAIN" est né de la rencontre d’une volonté d’aller de l’avant de professionnel(les) engagé(es) dans la direction et l’accompagnement d’E.S.A.T. et d’une intention de recherche portée conjointement par ces professionnel(les) et une chercheure de la Chaire E.S.S. de l’U.R.C.A., membre du laboratoire de recherche en économie et gestion REGARDS (EA6292). Cette volonté s’est concrétisée non seulement par la signature d’une convention de collaboration de recherche (un cadre éthique négocié et accepté de tous) mais aussi par le dégagement d’un financement propre, mettant l’équipe de recherche à l’abri des impératifs externes et injonctions de toutes sortes émanant de décideurs publics et/ou de financeurs externes. Cette absence de "commande publique" a donné à la fois une grande liberté, mais aussi une lourde responsabilité de restituer, à toutes les personnes engagées dans ce projet de recherche, de l’information valide scientifiquement, contribuant à les aider à faire des choix responsables, avec une préoccupation de "justice cognitive" (Visvanathan, 2009). Ce premier contrat a offert l’opportunité aux partenaires de ce projet de renforcer, au travers de l’analyse des pratiques et des discours des acteurs(trices) de terrain, leur expertise sur les modèles d’organisation et les logiques d’action des professionnel(les) et des publics en présence dans les E.S.A.T. et, plus largement, celles des structures et des institutions de l’économie sociale et solidaire. Cette expertise est destinée à nourrir les choix stratégiques sur les territoires et au-delà les politiques publiques en matière de handicap et d’insertion… Université de Reims, 2021, 65p
Ce guide est issu de la recherche action-collaborative de Handéo sur « Les conditions sociales de l’accompagnement à domicile des personnes polyhandicapées et du soutien de leur proche aidant » (Blondel et Delzescaux, 2019)1 . Réalisé en 2019, ce guide a été construit en concertation avec un Comité de rédaction associant des professionnels de terrain et des représentants des familles et des personnes polyhandicapées. Ce guide est une déclinaison pour le polyhandicap de ceux déjà réalisés par Handéo sur l’ensemble des situations de handicap (Comprendre le handicap pour mieux accompagner), sur le handicap psychique et sur l’autisme.
https://www.reiso.org/articles/themes/handicaps/7127-monter-sur-scene-au-dela-du-handicap
Par ses multiples activités, la Fondation Cap Loisirs contribue depuis quarante ans à la participation culturelle des personnes en situation de handicap et à une culture plus inclusive à Genève. Récit d’une aventure à mille facettes.
https://www.agefiph.fr/sites/default/files/medias/fichiers/2021-03/Agefiph-Etude_Covid_17%20mars.pdf
Afin de mieux comprendre les impacts de la crise et les besoins des personnes en situation de handicap, l’Agefiph s’est associée à l’Ifop pour mettre en place une grande enquête en 3 étapes en mai, juin et septembre 2020 portant sur le vécu professionnel des personnes en situation de handicap. Cette enquête visait à mieux appréhender et faire connaître la manière dont cette crise a affecté la vie et les parcours professionnels des personnes en situation de handicap. Objectif également pour l'Agefiph : ajuster et adapter son offre d’accompagnement, ses services et ses aides pendant cette période
Le dossier : https://handicap.gouv.fr/IMG/pdf/15102020_-_dossier_presse_-_handicap_mdph_2022.pdf
Le baromètre CNSA des maisons départementales des personnes handicapées / https://www.cnsa.fr/vous-etes-une-personne-handicapee-ou-un-proche/barometre-des-maisons-departementales-des-personnes-handicapees
Dans le cadre de la Conférence nationale du handicap du 11 février 2020, un accord de méthode inédit entre l’État et l’Assemblée des départements de France a été signé, selon une méthode de concertation et de coconstruction, pour optimiser de façon significative, sous deux ans, le pilotage et le fonctionnement des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH).
Co-portée dans sa vision d’ensemble et son déploiement par l’État et l’Assemblée des départements de France, la feuille de route MDPH 2022, structurée autour de cinq grands axes de transformation, fait de la maîtrise des délais de traitement des droits et de l’accélération de l’attribution des droits à vie [1], deux enjeux majeurs.
Simplifier durablement le quotidien des personnes et réduire les disparités territoriales sont au centre de cette transformation des méthodes et des pratiques afin de permettre à chaque usager d’obtenir un accès aux droits de qualité, simple, rapide et équitable.
Résultats de l’Enquête nationale en collèges et en lycées chez les adolescents sur la santé et les substances - EnCLASS 2018
Au total, près d’un collégien sur cinq se déclare porteur d’un handicap ou d’une maladie chronique ayant été diagnostiqués par un médecin et pour près de 4 % des collégiens cette situation restreint leur participation à l’école.
Les élèves en situation de handicap qui déclarent une restriction de leur participation à l’école rencontrent également plus fréquemment des difficultés dans plusieurs tâches de la vie quotidienne.
La proportion d’élèves se déclarant porteurs de maladie chronique ou de handicap restreignant leur participation à l’école qui avait augmenté entre 2010 et 2014 est restée stable entre 2014 et 2018.
http://interparents.blogs.apf.asso.fr/files/21-01-2020-Guide-Parents-vnum%C3%A9rique%20VF.pdf
Ce guide a été rédigé avec l’aide du Groupe National des Parents d’enfants en situation de handicap (GNP) et du Groupe National des Proches.
Destinés aux parents, conjoints et autres proches qui accompagnent une personne en situation de handicap, ce guide a pour but de les aider à formaliser les besoins de la personne accompagnée et les leurs en tant qu’aidant. Objectif : construire le "projet de vie" de la personne qui accompagne la demande de mise en place du Plan Personnalisé de Compensation auprès de la MDPH.
Ce guide vous permettra de :
• Mieux identifier et formuler les souhaits de la personne que vous accompagnez ;
• Vous poser la question de leur adéquation avec les vôtres ;
• Identifier vos propres besoins en tant que proche, aidant familial.
http://www.acgo.fr/wp-content/uploads/2021/02/Livret-de-sensibilisation.pdf
Les enfants sont les adultes de demain : les sensibiliser dès leur plus jeune âge permet de porter un autre regard sur le handicap et de construire durablement des valeurs altruistes et respectueuses. Ce projet prenant plus de sens en équipe, réunir des associations très engagées dans le domaine du handicap s'est donc fait tout naturellement. Une collaboration inspirée a permis de construire ensemble ce livret de sensibilisation et d’apporter nos expériences personnelles pour enrichir son contenu. Le handicap ne fait pas de discrimination : il peut toucher tout le monde, quels que soient l’âge, le genre, l’origine ou le milieu social. Le handicap peut être visible ou invisible, permanent ou temporaire...
Questions d'économie de la santé Irdes 254
Les hospitalisations sans consentement en psychiatrie et l’accueil d’adultes en situation de handicap – majoritairement psychique ou mental – dans des structures d’hébergement médico-social recouvrent des situations souvent traumatisantes et douloureuses pour les personnes et leurs familles, mais aussi pour les professionnels. Selon le rapport de l’Organisation des Nations Unies (Onu) sur les droits des personnes handicapées, ces situations peuvent constituer des privations de liberté spécifiques au handicap, contraires à l’article 14 de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. A partir d’entretiens réalisés avec les différents acteurs impliqués dans ces situations (personnes en situation de handicap, proches, représentants d’associations, professionnels de santé, directeurs d’établissements sanitaires et sociaux, décideurs politiques et la Contrôleure générale des lieux de privation de liberté), cette étude cherche à mieux comprendre les causes de ces situations et les moyens de les éviter.
Magali Coldefy (Irdes), Marieke Podevin (Argo Santé), Stéphanie Wooley (European Network of (ex-)Users and Survivors of Psychiatry, Santé mentale Europe, Advocacy-France)
avec la collaboration de Maria Gomez (Centre de droit et politique du handicap de l’Université nationale d’Irlande à Galway) et Emma Cassagneau (Argo Santé)
https://www.cnsa.fr/documentation/contributionc360-vf.pdf
La conception des Communautés 360 s’inscrit dans un processus large de réforme de l’État et de l’action publique du handicap. En introduisant la possibilité pour les personnes en situation de handicap et/ou leur entourage familial qui se trouvent en grande difficulté ou en crise d’interpeller directement les administrations via un numéro d’appel unique (le 0 800 360 360), les services concernés sont enjoints de produire des réponses immédiates et de s’organiser pour être en mesure de concrétiser ces réponses. Le niveau de coordination nécessaire pour répondre à ces interpellations impose une circulation fluide de l’information, notamment celle relative aux équipements existants sur le territoire de rattachement de la personne ainsi qu’aux capacités des ESMS de mettre en œuvre de nouveaux accompagnements. Cette information est aujourd’hui partiellement connue et partagée par les acteurs au niveau local du fait de leurs relations usuelles, cependant elle n’est pas directement accessible sur un support unique et de manière fiable. L’intégration croissante de l’information suppose donc une coordination accrue autour d’instruments qui centralisent des données mises à jour en temps réel, ou presque, pour répondre à toute sollicitation d’urgence
https://www.cnsa.fr/documentation/guide_bonnes_pratiques_usages_nomenclatures_vf.pdf
Par le biais d’un questionnaire en ligne, la CNSA a interrogé début 2020 les acteurs de terrain sur leur utilisation des nomenclatures. Un groupe de travail s’est ensuite réuni pour analyser les données de cette étude, les compléter et aboutir à ce guide relatif aux bonnes pratiques à promouvoir. Des fiches illustrant les usages possibles des nomenclatures sont annexées au guide. Ce guide s’inscrit dans le plan d’accompagnement des acteurs au projet SERAFIN-PH. Lors du comité stratégique du projet SERAFIN-PH de novembre 2019, la décision a été prise de promouvoir le développement de l’usage qualitatif des nomenclatures SERAFIN-PH. Les usages des nomenclatures SERAFIN-PH identifiés contribuent à personnaliser les prestations délivrées afin de garantir des parcours de vie fluides, dans une approche inclusive. Ces usages locaux peuvent être catégorisés selon quatre grandes familles : - les usages concernant très directement les personnes accompagnées ; - ceux destinés aux acteurs médico-sociaux ; - ceux relatifs à la programmation et à la planification d’une offre d’accompagnement - ceux permettant un renforcement des partenariats professionnels, institutionnels et de la gouvernance territoriale.
https://www.gapas.org/content/Guide%20ATOSTI.pdf
Faire ses propres choix est naturel pour la majeure partie des citoyens ; ce doit être le cas pour les personnes handicapées aussi. Car si choisir sa vie est aussi un droit consacré par la CIDPH, il s’agit surtout d’une question de dignité des personnes et un enjeu fondamental d’une société pleinement inclusive dans laquelle chacun peut s’épanouir et être représenté.
Cette recherche-action dirigée par Daniel Boisvert a mobilisé une énergie formidable de la part d’acteurs multiples, et met en lumière les bénéfices de dispositifs concrets donnant la possibilité de s’autonomiser et de piloter son propre projet de vie. Appuyé sur des dizaines d’études, il prouve les bénéfices rapides, concrets et durables sur la qualité de vie des personnes. Il met en lumière l’indépendance nécessaire de la personne dans le pilotage et la mobilisation des ressources afin d’être pleinement actrice de son projet de vie.
https://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/dares_analyses_professions_personnes_handicapee.pdf
Sur les années 2016 à 2018, 36 % des personnes reconnues handicapées et âgées de 15 à 64 ans ont un emploi, contre 65 % des autres personnes de cette tranche d’âge.
Lorsqu’elles en ont un, elles exercent une variété de métiers réduite par rapport aux autres personnes. Les 20 professions les plus répandues représentent 37 % de l’emploi des personnes reconnues handicapées, contre seulement 25 % de l’emploi sans reconnaissance.
Dans le secteur public, les personnes reconnues handicapées sont fortement surreprésentées dans des postes d’employés. 44 % d’entre elles sont employés civils et agents de service de la fonction publique, soit 16 points de plus que chez les personnes sans reconnaissance. C’est particulièrement le cas des postes d’adjoints administratifs et d’agents de service. Les ouvriers qualifiés de type artisanal de la fonction publique sont également surreprésentés parmi les personnes reconnues handicapées, notamment dans les métiers de jardiniers, d’ouvriers qualifiés d’entretien général des bâtiments ou encore de cuisiniers et commis de cuisine. A contrario, elles exercent quasiment deux fois moins fréquemment une profession scientifique, le métier d’enseignant, ou une profession intermédiaire de la santé ou du travail social.
Dans le secteur privé, seulement 6 % des personnes reconnues handicapées occupent un poste de cadre, soit 10 points de moins que pour les actifs occupés sans reconnaissance. Les personnes handicapées travaillent plus souvent comme ouvriers non qualifiés, industriel ou artisanal ; elles sont alors nettoyeurs, manutentionnaires ou ouvriers du tri, de l’emballage et de l’expédition notamment. Elles sont aussi surreprésentées parmi les employés, les agents de service hospitaliers ou les secrétaires, par exemple.
Les personnes en emploi reconnues handicapées sont plus âgées et moins diplômées que celles qui n’ont pas de reconnaissance. Cependant, cela n’explique qu’en partie leur spécificité socioprofessionnelle au regard du reste de la population.
Les personnes sourdes ou malentendantes représentent 8,9% de la population belge. Pourtant, les offres et les services sociaux et de santé sont trop peu souvent adaptés à leur situation. Ces difficultés d’accès se répercutent négativement sur leur état de santé.
En tant que professionnel·le, vous êtes susceptible d’accueillir ou de rencontrer des personnes sourdes. Cette fiche vous offre un éclairage sur les facteurs spécifiques liés aux compétences en littératie en santé de ce public et fournit des recommandations pour leur prise en compte.
Cette fiche a été alimentée par l’expérience d’associations de personnes sourdes (Infosourds, Surdimobile, Kap Signes, LSFB ASBL, L’Escale, la FFSB) et d’associations proposant des activités accessibles à celles-ci (Les Pissenlits asbl, la Maison médicale d’Anderlecht, Sourdilove, Entr’âge asbl, Araph).
La présentation : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3215404/fr/l-accompagnement-de-la-personne-polyhandicapee-dans-sa-specificite
La synthèse : https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2020-11/polyhandicap_preambule.pdf
Ces recommandations portent sur l’accompagnement de la personne polyhandicapée (enfants et adultes) à domicile ou en établissement. Elles s’adressent à tous les professionnels des établissements et services sociaux et médico-sociaux (ESSMS) ainsi qu’aux aidants (parents, fratrie…) afin de les aider dans un accompagnement personnalisé et centré sur les capacités de la personne tout au long de son parcours de vie.
Le dossier de presse : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3215210/fr/polyhandicap-un-accompagnement-centre-sur-le-developpement-des-capacites-de-chacun
Les recommandations : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3215404/fr/l-accompagnement-de-la-personne-polyhandicapee-dans-sa-specificite
La Haute Autorité de Santé publie les premières recommandations sur l’accompagnement de la personne polyhandicapée , enfant et adulte. Conçues pour couvrir l’ensemble du parcours de vie de la personne, ces recommandations invitent à changer de regard et à centrer l’accompagnement sur le développement des compétences de chacun plutôt que sur la limitation des déficiences. Cette approche positive est détaillée en six volets : la citoyenneté, les évaluations fonctionnelles, la santé, le quotidien, les transitions et la fin de vie, les professionnels et les proches.
Sur les années 2016 à 2018, 36 % des personnes reconnues handicapées et âgées de 15 à 64 ans ont un emploi, contre 65 % des autres personnes de cette tranche d’âge.
Lorsqu’elles en ont un, elles exercent une variété de métiers réduite par rapport aux autres personnes. Les 20 professions les plus répandues représentent 37 % de l’emploi des personnes reconnues handicapées, contre seulement 25 % de l’emploi sans reconnaissance.
Dans le secteur public, les personnes reconnues handicapées sont fortement surreprésentées dans des postes d’employés. 44 % d’entre elles sont employés civils et agents de service de la fonction publique, soit 16 points de plus que chez les personnes sans reconnaissance. C’est particulièrement le cas des postes d’adjoints administratifs et d’agents de service. Les ouvriers qualifiés de type artisanal de la fonction publique sont également surreprésentés parmi les personnes reconnues handicapées, notamment dans les métiers de jardiniers, d’ouvriers qualifiés d’entretien général des bâtiments ou encore de cuisiniers et commis de cuisine. A contrario, elles exercent quasiment deux fois moins fréquemment une profession scientifique, le métier d’enseignant, ou une profession intermédiaire de la santé ou du travail social.
Dans le secteur privé, seulement 6 % des personnes reconnues handicapées occupent un poste de cadre, soit 10 points de moins que pour les actifs occupés sans reconnaissance. Les personnes handicapées travaillent plus souvent comme ouvriers non qualifiés, industriel ou artisanal ; elles sont alors nettoyeurs, manutentionnaires ou ouvriers du tri, de l’emballage et de l’expédition notamment. Elles sont aussi surreprésentées parmi les employés, les agents de service hospitaliers ou les secrétaires, par exemple.
Les personnes en emploi reconnues handicapées sont plus âgées et moins diplômées que celles qui n’ont pas de reconnaissance. Cependant, cela n’explique qu’en partie leur spécificité socioprofessionnelle au regard du reste de la population.
La création d’un accès au droit de qualité, simple, rapide et équitable
Depuis 2017, le Gouvernement s’est engagé dans une politique volontariste d’amélioration du quotidien de tous les citoyens dont les personnes en situation de handicap et leurs proches.
Engagée par Sophie Cluzel, secrétaire d’État auprès du Premier ministre en charge des personnes handicapées, une pluralité d’actions a ainsi été déployée avec notamment comme ambition majeure l’amélioration et la simplification de l’accès aux droits de façon équitable dans tous les départements.
Dans le cadre de la Conférence nationale du handicap du 11 février 2020, un accord de méthode inédit entre l’État et l’Assemblée des départements de France a été signé, selon une méthode de concertation et de coconstruction, pour optimiser de façon significative, sous deux ans, le pilotage et le fonctionnement des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH).
Co-portée dans sa vision d’ensemble et son déploiement par l’État et l’Assemblée des départements de France, la feuille de route MDPH 2022, structurée autour de cinq grands axes de transformation, fait de la maîtrise des délais de traitement des droits et de l’accélération de l’attribution des droits à vie [1], deux enjeux majeurs.
A cause de la fatigue, des problèmes de mobilité, du temps consacré aux soins ou aux démarches administratives… le handicap ou la maladie chronique deviennent vite des obstacles à la vie sociale. Pour la première fois, cette « double peine » fait l’objet d’une étude menée par la Fondation de France.
Depuis 2010, la Fondation de France dresse chaque année un état des lieux de l’évolution des solitudes en France. L’édition 2018 de cette enquête quantitative et qualitative, menée avec le CREDOC entre mai et juillet[1], s’est intéressée spécifiquement à la solitude des personnes en situation de handicap ou souffrant de maladies chroniques. 32% d’entre eux se sentent seuls « tous les jours ou presque » ou « souvent », une proportion plus élevée qu’en population générale (+10 points). Ce sentiment de solitude constitue une source de souffrance pour un peu plus de 8 personnes concernées sur 10.
Baradji Eva, Filatriau Olivier
Entre 2011 et 2018, les personnes identifiées comme handicapées dans l’enquête Cadre de vie et sécurité déclarent plus souvent que le reste de la population avoir été victimes de violences physiques, sexuelles et verbales au cours des deux années précédant leur interrogation. 7,3 % ont subi des violences physiques et/ou sexuelles, autant ont été exposées à des menaces, et 15,4 % à des injures. L’écart entre les personnes handicapées et le reste de la population est plus important parmi les femmes que parmi les hommes. Les personnes handicapées font également plus souvent état de violences ayant causé des dommages physiques ou psychologiques importants. Les victimes en situation de handicap sont deux fois plus souvent agressées chez elles ou à proximité de leur domicile et connaissent plus fréquemment leur agresseur. Un quart des victimes handicapées se sont déplacées au commissariat ou à la gendarmerie après avoir subi une atteinte contre un cinquième des personnes non handicapées, et deux tiers d’entre elles ont porté plainte. D’après les données enregistrées par les forces de sécurité, près de la moitié des personnes en situation de handicap qui portent plainte le font pour des faits de violence physique ou sexuelle. Enfin, le sentiment d’insécurité dans le quartier ou au domicile est plus fortement ressenti par les personnes handicapées, qu’elles aient ou non subi une infraction. Etudes et résultats, Drees, n° 1156, 2020, 8p
https://cache.media.education.gouv.fr/file/23/38/1/ensel816_annexe_1135381.pdf
« Des pôles inclusifs d’accompagnement localisés sont créés dans chaque département. Ils ont pour objet principal la coordination des moyens d’accompagnement humain au sein des écoles et établissements scolaires de l’enseignement public et de l’enseignement privé sous contrat. Ces dispositifs visent à mieux prendre en compte les besoins éducatifs particuliers de l’élève en situation de handicap en vue du développement de son autonomie. »
Ce vadémécum a pour objectif d’accompagner les services académiques dans la construction de ces nouveaux dispositifs. Certaines modalités de fonctionnement sont mises en avant dans ce document, mais la plus grande souplesse est de mise pour définir l’organisation la plus adaptée et garantir l’atteinte des objectifs au plan académique
http://www.igas.gouv.fr/IMG/pdf/rapport_igas-2020-handicapsetemploi_interactif.pdf
Ce rapport a été élaboré par Claire AUBIN et Christine DANIEL, inspectrices générales des affaires sociales, avec la collaboration d’Alexis PATISSIER, de Lucille PETIT et Samy RASLI, stagiaires. Les travaux ont été suivis par un groupe d’inspecteurs référents : Dr Pierre ABALLEA, Christine BRANCHU, Yves CALVEZ, Bruno DROLEZ, Laurent GRATIEUX, Hervé LANOUZIERE, Bénédicte LEGRAND-JUNG, Isabelle ROUGIER. La relecture d’ensemble a été assurée par Jean-Philippe VINQUANT, avec le concours du Dr Anne-Carole BENSADON, Stéphanie FILLION, Pascal PENAUD et Adeline ROUZIER-DEROUBAIX, membres de l’IGAS. Les auteures se sont fondées sur les travaux de l’IGAS sur le sujet qui ont donné lieu aux 19 rapports recensés dans la bibliographie. Ces analyses s’appuient au total sur plus de 2 200 entretiens dans 36 départements, répartis dans 11 régions.
http://www.igas.gouv.fr/spip.php?article785
Comment favoriser l’emploi des personnes en situation de handicap ? Les politiques publiques déployées à cette fin depuis des décennies ont-elles fait leurs preuves et répondent-elles aux besoins et aspirations de ces personnes ? Aux besoins des employeurs ? Avons-nous seulement une idée claire de ces besoins, du nombre de personnes concernées et de la nature de leur handicap ? Que peuvent nous apprendre les voies empruntées par d’autres pays, en recherche, comme la France, d’une société plus inclusive, donc d’un monde du travail plus inclusif ?
Ce guide a pour finalité de limiter voire éviter tout incident lié à l’organisation du circuit du médicament au domicile des personnes âgées ou en situation de handicap (élaboration des piluliers, suivi des traitements, etc.). Le guide ne traite pas de la question de l’adaptation de la prescription. Il a pour objectif de définir des points de vigilance pour : ‒ Mettre en place une politique de gestion du risque médicamenteux ‒ Gérer le risque médicamenteux tout au long de l’accompagnement des personnes ; ‒ Assurer la coordination entre les différentes structures intervenant auprès de la personne. Pour cela, le guide rappelle les étapes du circuit du médicament de la prescription à l’administration ainsi que les missions et les responsabilités, règlementairement définies de chacun des professionnels concernés. Au regard de chacune des étapes, le document identifie des facteurs de risque et de facteurs de protection à mettre en place s’agissant de la personne, du service et de la coordination entre les professionnels
Avec l’engagement du grand service public de l’École inclusive, la rentrée 2019 a porté de
premières étapes importantes pour l’amélioration de la scolarisation des enfants handicapés, qui
sont 60 000 de plus depuis 2017 à avoir franchi les portes de l’école.
Cette ambition a été réaffirmée par le président de la République lors de la Conférence nationale
du handicap du 11 février dernier.
Alors que la crise sanitaire a conduit à un contexte inédit de préparation de la rentrée scolaire
2020, le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et la secrétaire d’État chargée des
Personnes handicapées amplifient encore les efforts et les moyens au service des parcours
scolaires et d’apprentissage des enfants, avec l’objectif d’en mesurer parallèlement la qualité et
l’efficacité.
AFP-Lab, Laboratoire des nouvelles technologies d'APF France handicap
La conception universelle vise à surmonter les obstacles qu'ils soient temporaires ou permanents. Elle est basée sur quelques conseils simples : communiquer toujours en mobilisant au moins trois sens (vue, ouïe, toucher), limiter les efforts, respecter le rythme de chacun, prévoir les compatibilités, accepter et anticiper l'erreur et ne pas négliger l'esthétique. Le guide précise les différentes situations de handicap et le nombre des personnes concernées puis reprend à partir d'exemples simples des situations où la conception universelle peut être facilement appliquée. APF France Handicap, Collection APF Lab, 2020, 44p
http://apedaf.be/wordpress/wp-content/uploads/2019/12/asbl-APEDAF_Guide-surdit%C3%A9_WEB.pdf
Un guide réalisé par l'@asblApedaf
Association des parents d'enfants déficients auditifs francophones (Belgique) pour optimiser l’inclusion des élèves sourds au sein de la classe.
Ce guide pédagogique vise à offrir aux enseignants les informations nécessaires, des pistes, des conseils, des astuces et ainsi optimaliser l’inclusion des élèves sourds au sein de la classe. Si vous appréciez le contenu de cette mallette, n’hésitez pas à le partager avec vos collègues, votre direction, d’autres écoles … • Vous accueillez un enfant et désirez d’autres exemplaires de notre mallette pédagogique ou des brochures spécifiques ? • Vous aimeriez mettre en place des aménagements raisonnables ? • Vous souhaitez une sensibilisation à la surdité pour le corps professoral ou pour votre classe ?
https://www.monparcourshandicap.gouv.fr/
https://www.cnsa.fr/actualites-agenda/actualites/lancement-de-la-plateforme-mon-parcours-handicap
Le secrétariat d’État chargé des Personnes handicapées a souhaité l’accélération du lancement de « Mon Parcours Handicap » dont la mise en service intervient ce mercredi 6 mai : une plateforme numérique développée par la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) et la Caisse des Dépôts (CDC), pour le compte de l’État. Alors que la crise sanitaire fragilise l’économie et l’emploi des personnes en situation de handicap, cette plateforme doit permettre sans délai de leur donner toute l’aide et l’information possibles pour soutenir leurs projets professionnels. Cette plateforme 100% accessible, conçue pour et avec les personnes en situation de handicap, s’étoffera progressivement de nouveaux services, selon une logique d’amélioration continue.
Conçue dans une logique de point d’entrée unique d’information, d’orientation et de services, www.monparcourshandicap.gouv.fr a pour objectif de permettre aux personnes en situation de handicap de s’informer et d’effectuer leurs démarches en ligne grâce à un accès direct à :
- des informations généralistes, officielles, fiables, facilement compréhensibles et actualisées ;
- des ressources nationales et de proximité, géolocalisées (annuaires, sites spécialisés, événements…) ;
- des services personnalisés et sécurisés.
FIRAH, CCAH, Dusart Anne
Les éditions h sont réalisées en partenariat entre la FIRAH (Fondation Internationale de la Recherche Appliquée sur le Handicap) et le CCAH (Comité national Coordination Action Handicap). Ce cahier des éditions h s’adresse aux professionnels, familles et proches des personnes handicapées concernés par les questions d’accès au soin, de choix et de fin de vie. Il pourra également être utile aux chercheurs et décideurs politiques intéressés par ces thématiques. Il a été réalisé afin de présenter un état des lieux des connaissances ainsi que différents outils concernant l’accès aux soins, les choix, et l’accompagnement à la fin de vie des personnes avec une incapacité intellectuelle
https://www.cnsa.fr/documentation/depliant_projet_serafin_ph_accessible.pdf
Le projet SERAFIN-PH a pour objet de réformer les modalités d’allocation des ressources des établissements et services médico-sociaux (ESMS) accompagnant les personnes en situation de handicap, sous réserve d’une notification de la maison départementale des personnes handicapées (MDPH). Cette réforme du financement des ESMS a vocation à être équitable, lisible, et doit faciliter des parcours de vie fluides, personnalisés, par des accompagnements modulaires et inclusifs. L’objectivation des modalités de financement au regard des caractéristiques des personnes accompagnées doit participer à garantir des réponses adaptées aux besoins des personnes. *SERAFIN-PH s’inscrit dans la continuité de la démarche « Une réponse accompagnée pour tous ». Il est l’un des leviers de la transformation de l’offre d’accompagnement, tant par ses travaux menés pour la réforme du financement des ESMS que par sa participation à la réflexion et aux outils visant des organisations et articulations territoriales renouvelées.
L'ANCREAI vient de publier une étude relative au on recours aux établissements et services médico-sociaux dans le domaine du handicap.
Partant du constat de l'existence d'écarts entre nombre de notifications et nombre de personnes en liste d’attente (liste souvent pas définies de manière homogène), l'ANCREAI a voulu répodre à la question suivante : "pourquoi des familles ou des personnes en situation de handicap, qui ont bénéficié d’une notification d’orientation, ne sollicitent-elles pas une admission en établissement ou un accompagnement par un service médico-social ?"
https://handiconnect.fr/fiches-conseils/
Vous êtes professionnel de santé et vous recevez des patients adultes et enfants atteints de déficience visuelle ? Découvrez les 6 nouvelles fiches Handiconnect "Déficience visuelle" : la première consultation, les points de vigilance cliniques, les particularités de l'examen clinique...
Handiconnect.fr est le site ressource pour guider les professionnels de santé dans leur pratique quotidienne auprès de patients en situation de handicap.